vendredi 14 juin 2013

Discours de lancement de "France, quand tu trahis" à Montréal

Editions Duroi - Discours de lancement à Montréal le 12 Juin 2013

Monsieur le Conseiller élu à l’Assemblée des Français de l’Étranger,
Mesdames Messieurs les Présidents d’associations,
Mesdames Messieurs,
Chers amis,
Tout d’abord merci de vous joindre à moi pour le lancement de mon 5e livre :
" France, quand tu trahis", publié aux Éditions Duroi.
En effet, nous n’avons pas l’habitude de voir des chefs d’entreprises
ou des entrepreneurs écrire des livres sur leur expérience ou à de très rares exceptions.
Pour ma part, j’ai sûrement dû hériter cela de mon père qui, déjà en 1961, écrivit un essai intitulé : « Les propos considérables de Nicolas Passifol ». Cet ouvrage eut un certain retentissement dans le Sud-ouest de la France, à une époque où la communication n’était pas celle que nous connaissons, de nos jours.
Mon parcours professionnel m’a conduit aux quatre coins du monde mais il fut aussi jonché d’épreuves de toutes sortes.
J’ai voyagé très tôt, en 1975 en Chine de Mao Tse Tung puis à travers l’Asie et l’Europe de l’Est alors fermée par le communisme.
Tellement exalté par ce vécu, j’ai toujours voulu partager mon expérience avec mon entourage, avec mes amis.
Je suis donc devenu un auteur de témoignages économiques.
J’ai écrit mon premier ouvrage « La Patronade » publié aux Éditions Olivier Orban dès 1988. Ce néologisme illustre le cheminement d’un patron.
A suivi le livre "Comment j’ai sauvé Lip" édité aux éditions Entreprendre-Robert Lafont qui a illustré mon rachat en1990, de cette célèbre marque horlogère française.
Je me permets de vous rappeler que c’est LIP qui a inventé le quartz en 1970, en France. Si les hommes les plus humbles peuvent lire l’heure à leur poignet, c’est grâce à cette invention qui a marqué à jamais l’humanité.
Puis il y eut, en 2004, "Le Délit d’Entreprendre" aux éditions de la Mezzanine qui illustra les déboires rencontrés en 2000 dans ma région natale. Cet ouvrage fut très médiatisé en France et a fait couler beaucoup d’encre.
Mais ma vie a changé.
Ma famille et moi avons décidé d’immigrer, ici à Montréal, en Amérique du Nord,
où nous sommes installés avec bonheur.
C’est au Québec que j’ai écrit "France, quand tu trahis".
Ce livre illustre un parcours familial et personnel.
Il souligne les manquements de mon pays d’origine où j’ai aimé grandir, où j’ai pu développer ma passion d’entreprendre, à mon profit mais aussi au profit de ma région et de la France.
Mais comme on dit dans les milieux financiers : « Les arbres ne montent pas au ciel. » Alors, la jalousie fut aiguisée par un entourage malveillant dans un environnement où l’égalitarisme est prôné sans cesse. Vous découvrirez comment ma famille et moi avons été poussés à l’exil.
Vous ne trouvez pas ce livre dans les librairies traditionnelles
car malheureusement, elles disparaissent les unes après les autres.
J’ai donc choisi de créer ma propre maison d’édition au Québec.
C’est ainsi que sont nées les Editions Duroi, qui ont pour objet les éditions mais aussi la distribution.
Le site www.Éditionsduroi.com vend les livres en version papier partout à travers le monde en français et en anglais,
en assurant une expédition gratuite.
En revanche, la version numérique est présente dans toutes les librairies ebook : Amazon, Kindel, Kobo, Sony,  iTunes et prochainement dans les librairies de Google.
Paul-Loup SULITZER l'auteur de Money, Cash, Fortune qui a vendu 60 millions de livres à travers le monde, après avoir dévoré mon livre a déclaré au magazine JOURS DE FRANCE: 
"un livre que tout entrepreneur devrait lire pour ne rien laisser échapper du monde actuel et qui se lit comme un roman"
En ces quelques mots
j’espère vous avoir éclairé sur mes motivations d’auteur de témoignages économiques.
Cette expérience de l’économie du réel
d’une vie internationale m’a permis de me bâtir.
Je souhaite donc la transmettre à d’autres pour qu’ils puissent à leur tour se construire.
Vous trouverez donc dans mon dernier livre, du moins je l’espère, les outils pour vous aider dans vos projets futurs
ainsi mon ouvrage aura été utile.  
Merci et bonne lecture à tous,
Je vous souhaite de passer une excellente soirée.
 

EDITIONS DUROI - www.EditionsDuroi.com

jeudi 13 juin 2013

Jean-Claude Sensemat : du cauchemar français au rêve américain

Jean-Claude Sensemat : du cauchemar français au rêve américain
par Bertile de Contencin
pour l’Outarde libérée
 
Jean-Claude Sensemat, entrepreneur et auteur français installé au Québec en 2007, annonçait hier la sortie de son cinquième ouvrage au titre provocateur : France quand tu trahis. À travers son histoire personnelle, il règle ses comptes avec son pays, et livre le “témoignage économique” d’une vie qui l’a mené de la campagne française jusqu’aux gratte-ciel du downtown montréalais.
Comme il le reconnaît lui-même, raconter le parcours de Jean-Claude Sensemat prendrait de longues heures tant cet homme mène de vies à la fois. Cette citation extraite de son dernier livre résume cependant assez bien le personnage et son propos : “En Amérique, j’aurais été une idole! En France, chez moi, on m’a détesté.”
Jean-Claude Sensemat est un self-made-man made in Gascogne. “Je suis parti de rien, et j’ai pu construire un groupe dans le domaine de l’outillage grand public, qui en 30 ans est devenu leader en France, et dans 70 pays à travers le monde. Je suis également le propriétaire de la marque d’horlogerie LIP”, raconte-t-il, non sans fierté, de son bel accent du sud-ouest. Un jour contre toutes attentes, le vent tourne pour l’homme d’affaires. Des problèmes de trésorerie dans une de ses filiales l’amènent à déposer le bilan en 2000.
France quand tu trahis retrace, avec plusieurs aller-retour dans le temps et l’espace, ce qui a poussé cet entrepreneur dégoûté à quitter son pays. L’auteur qualifie son ouvrage de témoignage économique. “Je fais ça pour servir, explique-t-il, il m’est arrivé de belles choses dans ma vie, la France m’a permis de me développer, mais il y a eu quelques manquements de la part des institutions qui m’ont fait perdre des choses, et ces évènements qui me sont arrivés à moi peuvent arriver à d’autres.” Le récit ressemble parfois à un polar juridico-financier. Intimidations, écoutes, trahisons, mensonges, copinages, jeu de pouvoir, bling-bling, et jalousie, tout y est. Mais, derrière la vindicte, ce qu’on retient surtout c’est la vision d’expatrié que Jean-Claude Sensemat propose des modèles français et québécois.
“En France, comme je l’ai déjà dit dans une précédente interview, on peut réussir si on est socialiste. (…) Qui va vouloir entreprendre dans ce pays dans la mesure où vous risquez votre épargne et qu’on vous traite de salaud en permanence?”, interroge frondeur, celui qui s’affichait en photo avec Nicolas Sarkozy lors de sa conférence à la Chambre de Commerce de Montréal, en avril dernier. Comme tout immigré, il compare dans son livre ses deux expériences. “En Amérique du nord, dit-il,  l’entrepreneur est quelqu’un de reconnu parce que les Nord-Américains connaissent la valeur de l’argent. Au Québec une piasse c’est une piasse.”
Le discours de l’homme d’affaires n’est pas neutre, mais il n’est pas que politique, encore moins radicalement néolibéral. Jean-Claude Sensemat se pose en produit de la méritocratie : “Je dois mes succès à moi même, à une époque, à un environnement qui s’est ensuite retourné contre moi, et les institutions de la France ne m’ont pas assisté.” Selon lui, c’est la mentalité française qui place aujourd’hui le pays en situation d’échec. “C’est le problème de notre devise Liberté, Égalité, Fraternité. Le peuple confond l’égalité avec quelque chose d’égal : il a une belle voiture, je dois en avoir une. C’est cet égalitarisme qui trompe le peuple. Pour avoir accès à quelque chose, il faut se l’octroyer en travaillant”, avance-t-il.
 
Jean-Claude Sensemat ne s’en cache pas, il a de l’argent. Le raffinement de son lancement sous les verrières du Holiday Inn de la rue Sherbrooke en atteste. Il se défend néanmoins de faire partie de cette catégorie de patrons montrés du doigt comme des exilés fiscaux : “J’ai des affaires en France, je paie en France tout comme je paie des impôts ici”. Aujourd’hui, l’entrepreneur ne voit pas sa vie ailleurs qu’à Montréal.
“Je veux rester ici, je ne fais pas partie de ces Français qui viennent un temps et repartent. Quand j’ai fermé la porte de mon appartement à Toulouse, c’était pour partir définitivement”, précise-t-il. Aux côtés de son épouse Martine, il continue à développer la société de gestion d’actifs et de conseil, créée dès son arrivée au Canada en 2007.
Il faut reconnaître à Jean-Claude Sensemat sa capacité incroyable à rebondir et à vivre avec son temps. Son American Dream, il a voulu le construire en France, et c’est finalement à l’heure où personne n’ose plus y croire qu’il le poursuit au Québec. À 62 ans, et loin du pessimisme actuel qui semble ronger les Français, il regarde encore et toujours devant lui avec la même ambition dévorante qu’à ses 20 ans. “On n’est pas obligé d’avoir de l’argent pour réussir, même aujourd’hui. Ce qu’il faut, ce sont des idées et des concours de circonstances, mais le plus important, c’est l’idée”, conclut-il.
 
BERTILE DE CONTENCIN 13 JUIN 2013 0

lundi 10 juin 2013

Recour en proximité de Juge, Expert et Justiciable

COMMUNIQUÉ :

Jean Claude SENSEMAT   scandaleusement dépouillé de la propriété de son Groupe d’outillage,  a demandé  une consultation à Maître Guy DEBUISSON afin d'envisager un recours judiciaire.

En effet, l'intéressé  qui était classé 150 Emme fortune professionnelle française, s'émeut des possibles conséquences judiciaires liées à la proximité d'un Juge et d'un Expert.

Lui-même entretenait des relations intimes avec un Magistrat qui occupait!! la double  présidence du TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE et du TRIBUNAL DE COMMERCE avant que celui-ci ne se comporte en "ennemi judiciaire" provoquant la déconfiture du Groupe.
La révision intellectuelle du dossier ayant postérieurement aux jugements laissé transparaître d'évidentes anomalies et turpitudes, Jean Claude SENSEMAT doit demander à Maître DEBUISSON du barreau de Toulouse d'engager une action en révision.
 
 
Paru dans La Lettre de L’Expansion :
 
JEAN-CLAUDE SENSEMAT, fondateur du groupe gersois d’outillage éponyme qui a fermé en 2000 et dont il estime avoir été dépouillé, va demander une consultation à Guy Dubuisson, avocat à Toulouse, en vue d’engager une action en révision. Il compte mettre en avant notamment la proximité d’un juge et d’un expert pendant la période de difficultés du groupe.
La Lettre de L’Expansion du Lundi 10 juin 2013  n° 2139

vendredi 7 juin 2013

SULITZER aime FRANCE QUAND TU TRAHIS


Paul-Loup SULITZER l'auteur de Money, Cash, Fortune qui a vendu 60 millions de livres à traves le monde.

Après avoir dévoré "FRANCE QUAND TU TRAHIS" le dernier ouvrage de Jean-Claude Sensemat publié aux www.EditionsDuroi.com
a déclaré à JOURS DE FRANCE:

 
"un livre que tout entrepreneur devrait lire pour ne rien laisser échapper du monde actuel et qui se lit comme un roman"
 
La version papier en Français ou Anglais est UNIQUEMENT vendue par le site internet: www.EditionsDuroi.com
La livraison est gratuite partout dans le monde. Bonne lecture !