samedi 31 décembre 2016

Les Voeux 2017 de JC Sensemat et Le Français Magazine



Bonne Année 2017 à tous mes amis à travers le monde !
Sensemat.com

Bonne lecture avec LeFrancaismagazine.com



Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter

jeudi 22 décembre 2016

Gestion Geneen Inc la Compagnie de Jean-Claude Sensemat au Canada

Gestion Geneen Inc. est la compagnie de Jean-Claude Sensemat au Canada.
Il gère ses actifs, mobiliers et immobiliers, depuis Montréal.
En Europe, c’est en France, à Labège près de Toulouse, que Capitole & Cie est installée pour la gestion d'actifs immobiliers en France.

Gestion d'un trust qui place principalement ses fonds dans des obligations d'entreprises nord-américaines et également des titres en bourse à New-York ou Toronto.

Gestion d'immobilier de luxe à Montréal et en France depuis les bureaux de Montréal..


Jean-Claude SENSEMAT | Gestion Geneen Inc.
F i n a n c i è r e   &   I m m o b i l i è r e   
1155, Bd. René Lévesque Ouest, # 2500, Montréal (Québec) H3B 2K4 - C A N A D A
Tél . : +1 514 868 0561 – Mobile. : +1 514 512 0495 | jc.sensemat@sensemat.com

Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter


L I S E Z | Le Français Magazine avec votre Smarphone

mardi 6 décembre 2016

SENSEMAT vend le31.com à SIMONS

Jean-Claude SENSEMAT|Gestion Geneen Inc. propriétaire du nom de domaine le31.com 
a vendu celui-ci aux grands Magasins SIMONS fondés en 1840 au Québec.
le31 est la marque historique de la Maison Simons pour la mode masculine.





Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter

lundi 21 novembre 2016

C'est le triomphe de la JALOUSIE

C'est le triomphe de la JALOUSIE.
Une élection de droite et du centre à laquelle on a laissé voter des socialistes et des communistes notoires qui n'ont pas hésité à se parjurer.
Les Français ont préféré des talents à un génie.
Je suis triste pour mon pays natal qui doit s'attendre à plus de souffrances.
Jean-Claude Sensemat

Je voterai François Fillon pour le second tour de la primaire,
Tout comme Nicolas Sarkozy.
Jean-Claude Sensemat


Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter

lundi 7 novembre 2016

SARKOZY 2017 : IL PEUT SAUVER LA FRANCE


Dans le LE FRANÇAIS MAGAZINE : 

SARKOZY 2017 : IL PEUT SAUVER LA FRANCE


Feuilletez : www.LeFrancaisMagazine.com avec votre Smartphone.


Visitez www.Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter

vendredi 4 novembre 2016

Sensemat : Presse et publications

Mes activités de presse :
- La Gascogne, Journal (1995-2001)
- Le Capitole, Journal (1999-2000)
- Toulouse Capitale, Journal (2004-2008)
- Le Français Magazine, WebMagazine depuis 2015. www.LeFrancaisMagazine.com 












Mes publications : 
- La Patronade, éditions Olivier Orban, 1988.
- Un Moment de Gascogne, éditions La Gascogne, 1997.
- Le Délit d'Entreprendre, éditions de la Mezzanine, 2004.
- Comment j'ai sauvé LIP, éditions Entreprendre Robert Lafont, 2005.
- France, Quand tu trahis, éditions Duroi, 2013.
http://www.editionsduroi.com/fr/


Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter

jeudi 3 novembre 2016

Au vernissage de Marcel H.Poirier





Vernissage de l’exposition "Migration" de Marcel H. Poirier à l’espace Georges Laoun de Montréal.
http://marcelhpoirier.com/ 


Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter



dimanche 25 septembre 2016

Jean-Claude Sensemat soutient Nicolas Sarkozy



Jean-Claude Sensemat soutient Nicolas Sarkozy.
Militant Les Républicains et fidèle sarkozyste de la première heure à Montréal (Canada).


Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter

mardi 20 septembre 2016

Jean-Claude Sensemat : «Je n'avais qu'une solution, partir»


16 ans après la fermeture de son entreprise d'outillage à Fleurance, quelques mois après avoir vendu la marque Lip, Jean-Claude Sensemat revient sur son parcours dans le Gers et sur sa vie… de l'autre côté de l'Atlantique.

16 ans après, le morceau n'est, semble-t-il, toujours pas digéré. Lorsque Jean-Claude Sensemat parle de la fermeture, en 2000, de son entreprise d'import-export d'outillage, les mots sont tranchés : «J'ai perdu trente ans de travail en trois mois, sur une décision de justice, faisant penser à un ‘'Outreau économique''».

Le natif de Fleurance dénonce même «tous les frustrés de ma réussite, les syndicats, les jaloux, les cadres effrayés et les politiques haineux se sont déchaînés.»

Lui a-t-il fait des erreurs, a-t-il des regrets ? Sa réponse : «Toutes mes activités ont toujours été bénéficiaires pendant trente ans et la capitalisation financière était plus que solide.» Il assure même : «Je suis l'entrepreneur privé qui a apporté le plus de ressources économiques au département du Gers pour le XXe siècle». Difficilement vérifiable même s'il a pesé très lourd… Le groupe Sensemat, avec ses différentes activités et sur différents sites, a salarié jusqu'à 500 personnes.

Il y a quelques mois, l'homme d'affaires vendait d'ailleurs la dernière entreprise qui le reliait au Gers, les montres Lip. Il explique : «J'avais racheté à la barre du tribunal de Besançon la marque horlogère Lip en 1990 j'ai multiplié les actions marketing ce qui a permis à mes collaborateurs de vendre avec succès ces montres. Marque qui avait disparu du marché depuis quelques années. Fin 2015 le contrat de licence de la marque Lip arrivait à son terme. Étant au Canada, je ne souhaitais pas renouveler la licence, car c'était trop contraignant depuis Montréal j'ai préféré la vendre au détenteur de la licence.»

Désormais, M.Sensemat et sa famille ont traversé l'Atlantique. Après être allé à Toulouse et avoir occupé le poste de consul d'Albanie en France de 2002 à 2007, M.Sensemat a tenté de créer une nouvelle entreprise en France. «Les banques françaises m'ont fait savoir que, comme je n'avais pas voulu remettre de l'argent personnel dans la société d'outillage, je n'aurai plus de crédit, assure-t-il. Je n'avais qu'une solution, c'était de partir de France.»

À la Bourse de New-York

Au Canada, détaille-t-il, «je ne suis pas arrivé les mains vides, j'ai amené avec moi l'argent gagné par mon travail, puisque mes sociétés ont toujours été bénéficiaires et que j'en étais le seul actionnaire. Cela m'a permis de créer une société financière sous la forme juridique de fiducie, trust en anglais. Cette société place principalement ses fonds dans des obligations d'entreprises nord-américaines et également des titres en bourse à New-York ou Toronto. Dès mon arrivée à Montréal, j'ai acheté des appartements dans le centre-ville, qui ont rapidement pris de la valeur, car Montréal est une des mégalopoles des plus attractives.»

Aujourd'hui grand-père de trois petits Québecois, l'entrepreneur compte-il revenir dans le Gers ? «Je ne retournerai habiter dans le Gers ou en France ni vivant ni mort. J'ai d'ailleurs déjà organisé mes obsèques à Montréal, sur les hauteurs du cimetière de la Côte-des-Neiges. Mais, comme tout cela est très loin, j'espère partager avec quelques ‘'amis'' lors d'un de mes passages un bon magret qui aura été précédé d'un foie gras du Gers avec un petit verre de blanc du pays.»

Ses «amis», comme il dit, peuvent en tout cas suivre ses aventures sur Facebook, un site Internet à son nom, dans ses livres, les éditions Duroi qu'il a créées ou encore le webmagazine «Le Français magazine» qu'il a fondé voilà peu…

Christophe Zoia
La dépêche du Midi

dimanche 18 septembre 2016

Statistique Le Français Magazine

101 971, est le nombre de personnes auprès desquelles Le Français Magazine a été diffusé entre le 7 et le 18 septembre 2016.
Les points sur la carte représentent les villes d'ou Le français Magazine a été vu.
Souce : Google Anaytics et Facebook.
Gratuit, lisez www.LeFrancaisMagazine.com avec votre Smartphone et sur tous vos écrans.

Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter

mardi 6 septembre 2016

Lisez Le Français Magazine avec votre Smartphone


















































Gratuit, lisez www.LeFrancaisMagazine.com avec votre Smartphone et sur tous vos écrans.


Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter

L I S E Z | Le Français Magazine avec votre Smarphone

lundi 22 août 2016

Sensemat interviewé par La Dépêche du Midi


Voici l'interview intégral de Jean-Claude Sensemat dont les propos ont été recueillis le jeudi 18 août 2016 par Christophe Zoia, journaliste et responsable départemental adjoint de La Dépêche du Midi édition du GERS.

- Pourquoi avoir quitté le Gers, la France et choisi le Canada?

J’ai perdu trente ans de travail en trois mois, sur une décision de justice, faisant penser à un "Outreau économique". D’ailleurs par ma collaboration avec la brigade financière de la PJ de Toulouse j’ai fait arrêter, la main dans le sac, un auxiliaire de justice que l’on avait imposé dans mon entreprise.
Face à cette ambiance gersoise malveillante, je suis allé habiter à Toulouse.
À ce moment j’ai eu l’idée de devenir Consul d’un des pays avec lequel j’avais fait des opérations d’import-export d’outillage et l’Albanie était justement en recherche d’un consul.
J’ai réactivé mes connaissances dans ce pays et le gouvernement albanais a immédiatement voté ma nomination.
Le gouvernement français m’a accepté et l’on m’a remis l’exequatur pour m’occuper des Albanais dans 33 départements du sud de la France. J’ai démissionné de cette belle fonction quand ma famille et moi avons décidé d’immigrer au Canada.
J’ai choisi le Canada pour la francophonie du Québec et aussi pour marquer une vraie rupture avec les épreuves subies en France.

- Comment expliquez-vous, avec le recul, la chute de Sensemat outillage ? De la réussite de la relance de Lip ?

Toutes mes activités ont toujours été bénéficiaires pendant trente ans et la capitalisation financière était plus que solide.
Au printemps 2000, les stocks étaient trop élevés. Les banques n’ont eu alors de cesse de me demander de remettre ma fortune personnelle dans l’entreprise alors que cette dernière disposait de capitaux propres largement suffisants.
Puis, la justice s’en est mêlée pour redresser la situation. Tout cela a déstabilisé la confiance générale, jeté un doute sur la solidité de l’entreprise et l’a amenée au dépôt de bilan. Tous les frustrés de ma réussite, les syndicats, les jaloux, les cadres effrayés et les politiques haineux se sont déchainés.
Chacun voulait piller et obtenir un morceau de l’entreprise à vil prix, comme une revanche sur ma réussite jugée, par certains, trop flamboyante. C’était là l’opportunité de stopper mon irrésistible ascension.
J’ai été triste de voir des personnes, que j’avais aidées, avec lesquelles j’avais travaillé, que j’avais reçues chez moi me tourner brutalement le dos, effrayé par les rumeurs malveillantes, infondées. Cela me permet de dire que je n’ai jamais commis aucune malhonnêteté, je n’ai jamais été condamné, je n’ai jamais subi d’interdiction et je n’ai jamais été mis en examen.
Il est cocasse de constater que, certains de ces critiqueurs ont eu maille à partir avec la justice et ce sont eux qui ont été eux mis en examen et pour certain condamnés par la justice ou en voie de l’être.

- Justement, pourquoi avoir vendu Lip?

Lip faisait partie de mes biens personnels et j’ai tout fait pour tenir cette société à l’écart des turbulences que rencontrait mon groupe d’outillage.
J’ai donc imaginé et favorisé la création de la société MGH à Lectoure afin de lui louer ma marque Lip pour dix ans.
Car j’avais racheté à la barre du tribunal de Besançon la marque horlogère Lip en 1990 j’ai multiplié les actions marketing ce qui a permis à mes collaborateurs de vendre avec succès ces montres Lip. Marque qui avait disparu du marché depuis quelques années.
Fin 2015 le contrat de licence de la marque Lip arrivait à son terme. Étant au Canada, je ne souhaitais pas renouveler la licence, car trop contraignant depuis Montréal j’ai préféré la vendre au détenteur de la licence.

- Pourquoi ne pas avoir tourné la page et avoir à nouveau créé une entreprise en France ?

Les banques françaises m’ont fait savoir que, comme je n’avais pas voulu remettre de l’argent dans la société d’outillage, je n’aurai plus de crédit. J’ai essayé, je n’ai essuyé que des refus même quand je ne demandais aucun crédit et quand je demandais la raison on me répondit " parce que ". Je n’avais qu’une solution, c’était de partir de France. J’ai immigré au Canada et j’ai été accueilli comme investisseur par le Gouvernement canadien de plus, on m’a accordé la nationalité canadienne.


- Qu'êtes-vous devenu personnellement et professionnellement ? En quoi consistent votre "trust financier et de l'immobilier"?

Je ne suis pas arrivé au Canada les mains vides, j’ai amené avec moi l’argent gagné par mon travail, puisque mes sociétés ont toujours été bénéficiaires et que j’en étais le seul actionnaire.
Cela m’a permis de créer une société financière sous la forme juridique de fiducie, trust en anglais. Cette société place principalement ses fonds dans des obligations d’entreprises nord-américaines et également des titres en bourse à New York ou Toronto.
Dès mon arrivée à Montréal, j’ai acheté des appartements dans le centre-ville, qui ont rapidement pris de la valeur, car Montréal est une des mégalopoles des plus attractives.
J’ai, bien entendu, conservé tout mon immobilier personnel en France qui a été mis à la location, immobilier sur lequel d’ailleurs je paye toujours l’ISF.
Sur un plan personnel, ma femme et moi travaillons ensemble à nos différentes activités.
Nous sommes rentrés dans plusieurs clubs et cercles. Nous avons ‘’constitué’’ du social. Mon fils Laurent, après avoir terminé son université à Montréal, travaille dans la logistique d’une firme d’agroalimentaire il s’est marié à une Montréalaise, qui est opticienne, et ils ont fondé une famille de trois enfants, une petite fille de trois ans et des jumeaux fille et garçon, et cela donne beaucoup de joies aux grands-parents que nous sommes.


- Vous avez créé les éditions Duroi, écrit plusieurs livres, lancé sur le web "Le Français Magazine"… on sent chez vous une forte envie de témoigner, on se trompe?

J’ai toujours eu la passion d’écrire, de témoigner, de raconter ce que je vivais, ce que je vis, ce que je pensais, une façon de partager avec les autres.
Je ne peux cacher que, publier mes mésaventures a été une bonne thérapie. Aujourd’hui si l’on écrit ‘’ Sensemat’’ sur le site de la Fnac ou d’Amazon, on trouve mes livres.
Quant au ‘’Français Magazine’’, c’est une façon pour moi d’écrire et de rester en contact avec la France.

- Avez-vous, du coup, encore des liens avec le Gers? Le Gers et Fleurance vous manquent-ils?

Dans les dix dernières années, j’ai malheureusement perdu ma mère et mon ex-femme, il me reste quelques cousines et cousins.
Quant aux relations, anciens collaborateurs ou autres connaissances ils ont disparu après m’avoir tourné le dos, ont-ils la conscience tranquille ?
Je dois dire que le temps passe, la vérité se faisant jour, je reçois des témoignages de sympathie.
J’ai aimé le Gers et les Gersois plus qu’ils ne m’ont aimé. Fleurance est mon berceau, mon amour est grand pour cette ville, j'ai de l’émotion quand j’y pense.

- Quel est votre regard sur le Gers et son évolution ?

Je suis trop loin pour juger, bien que je sois toujours abonné à La Dépêche du Midi. Je suis l’entrepreneur privé qui a apporté le plus de ressources économiques au département du Gers pour le XXe siècle. Aujourd'hui, il semble que les priorités soient plus associatives qu’économiques, mais bien sûr, il y a la carte du tourisme, des festivals d’été, c’est ça le Gers et ce département a une bonne réputation pour cela.

- Sur votre site, vous n'éludez pas votre engagement politique… Pourriez-vous vous présenter à une élection?

J’adore votre question, elle est très gersoise comme si la politique était l’aboutissement du parcours d’un individu !
Je ne retournerai habiter dans le Gers ou en France ni vivant ni mort. J’ai d'ailleurs déjà organisé mes obsèques à Montréal, sur les hauteurs du cimetière de la Côte-des-Neiges. Mais, comme tout cela est très loin, j’espère partager avec quelques ‘’amis’’ lors d’un de mes passages un bon magret qui aura été précédé d’un foie gras du Gers avec un petit verre de blanc du pays.



Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter

samedi 6 août 2016

Bio Express de Jean-Claude Sensemat

Jean-Claude Sensemat est le président de Gestion Geneen Inc. à Montréal au Canada.

Son métier est la gestion et le développement de ses actifs financiers et immobiliers.
Sa résidence et son domicile sont à Montréal (Québec) Canada.
Il séjourne à Bangkok 2 à 4 mois par an.

Pour tout contact : jc.sensemat@sensemat.com


Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter

vendredi 3 juin 2016

Les livres de Jean-Claude Sensemat

Retrouvez tous mes livres sur : www.editionsduroi.com
Ou sur toutes les librairies en ligne, Fnac, Amazon… taggez le nom de l’auteur "sensemat"


Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter

jeudi 19 mai 2016

Sensemat : Consul d'Albanie


2002-2007 - Mes années de mission comme Consul pour la République d'Albanie : 

( Durant son activité diplomatique, il a participé à des rencontres avec le roi d'Espagne, la reine d'Angleterre, le président d'Israël. En haut, Jean-Claude Sensemat avec l'ancien Premier ministre français Édith Cresson et Férit Hoxha, ambassadeur en poste à Paris lors de la remise de l'exequatur. En haut à droite, le Général Alfred Moisiu, Président de la République d'Albanie en visite à l'UNESCO. Au-dessous, Jean-Claude Sensemat avec Fatos Nano, Premier ministre d'Albanie, Fatos Nano avec le président Jacques Chirac. En bas à gauche, Jean-Claude Sensemat avec Adrian Doga, homme d'affaires albanais, en discussion avec Rexhep Mejdani, Président de la République d'Albanie (1997-2002). En bas à droite, une délégation française en visite à Tirana.) Par Mélanie Saint-Jean

Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter

samedi 16 avril 2016

Sensemat : 46 ans de vie professionnelle


2007 Jean-Claude Sensemat immigre avec sa famille en Amérique du Nord et devient citoyen canadien. Il fonde à Montréal Gestion Geneen Inc. Il détient et dirige, un trust financier (Fiducie) et de l'immobilier au Québec et en France.

1990-2016 Jean-Claude Sensemat achète à la barre du tribunal de commerce de Besançon la marque Lip et la relance avec brio. Sa vision marketing a permis à ses équipes de vendre des millions de Lip à travers le monde et de faire revivre cette marque légendaire si chère au cœur des Français. Il vend la marque en 2016.

2002-2007 Les gouvernements albanais et français nomment Jean-Claude Sensemat, consul honoraire de la République d'Albanie, pour trente-trois départements du sud de la France jusqu'à son départ pour le Canada.
(Durant son activité diplomatique, il a participé à des rencontres avec le roi d'Espagne, la reine d'Angleterre, le président d'Israël. En haut, Jean-Claude Sensemat avec l'ancien Premier ministre français Édith Cresson et Férit Hoxha, ambassadeur en poste à Paris lors de la remise de l'exequatur. En haut à droite, le Général Alfred Moisiu, Président de la République d'Albanie en visite à l'UNESCO. Au-dessous, Jean-Claude Sensemat avec Fatos Nano, Premier ministre d'Albanie, Fatos Nano avec le président Jacques Chirac. En bas à gauche, Jean-Claude Sensemat avec Adrian Doga, homme d'affaires albanais, en discussion avec Rexhep Mejdani, Président de la République d'Albanie (1997-2002). En bas à droite, une délégation française en visite à Tirana.)
1975-2000 Jean-Claude Sensemat fonde et préside le Groupe Sensemat (Import-export d'outillage) qui est devenu progressivement la première entreprise privée du département du Gers et a exporté dans 70 pays à travers le monde.

1970 Jean-Claude Sensemat démarre sa vie professionnelle comme artisan puis commerçant. 
(En haut à gauche : Joseph Sensemat, radioélectricien, en 1951. On aperçoit la bourse de l'outil, premier grand commerce de vente d'outillage, lancé par Jean-Claude Sensemat.)
* * *
l'illustration de la vie professionnelle de Jean-Claude Sensemat
par Mélanie Saint-Jean

dimanche 6 mars 2016

Entreprendre : La vente de Lip par Sensemat

LIP, change de mains

La célèbre marque française Lip vient de changer de mains.
Jean-Claude Sensemat, homme d'affaires français devenu Canadien, a cédé la marque qu’il avait acquise en 1990 auprès du tribunal de Besançon devant Cartier qui la convoitait aussi.
C’est Jean-Luc Bernerd, déjà exploitant de la licence de la marque qui a eu la faveur, parmi plusieurs prétendants au rachat.
Parti de zéro, Jean-Claude Sensemat sut très rapidement redonner les couleurs du profit à la glorieuse marque horlogère, si chère aux cœurs des Français.
Il a fait vendre par ses équipes des millions de montres Lip en France, mais aussi à l’international.
Puis il fit rééditer les modèles cultes de LIP, notamment celle portée par le Général de Gaulle, le modèle T18 que le Gouvernement français avait offert à Winston Churchill ou encore faire élaborer la montre Jean Mermoz depuis l’horloge de bord Lip de l’avion le Laté 300 appelé Croix du Sud.
En homme de marketing, il y eut aussi la montre du Général de Gaulle offerte à Bill Clinton pour la commémoration du cinquantième anniversaire du débarquement des alliés en France.
Le président américain ne manqua pas de remercier Jean-Claude Sensemat par une missive venant directement de la Maison-Blanche. Il garda la montre et la déclara dans son patrimoine personnel.

Après dix ans de location de la marque, Jean-Luc Bernerd compte bien développer cette marque a fort potentiel et s’est pour cela adossé à Philippe Bérard, patron de SMB horlogerie près de Besançon, il lui a confié la licence pour dix ans à l’image de ce qu’il avait antérieurement signé avec la société de Jean-Claude Sensemat.
Philippe Bérard
s’est enthousiasmé, les médias se sont emballés : «  Lip est de retour à Besançon » est le thème asséné, ce qui est inexact, car peu après la reprise de Sensemat au tribunal de Besançon c’est à Morteau que déjà certaines montres étaient fabriquées par la société Mouche.
Mais peu importe Jean-Luc Bernerd, homme discret et constant, ne compte pas changer de cap. Il dirige aussi La Manufacture Générale Horlogère qui distribue des marques comme Performer,  Pic et Poc pour les juniors et les réveils Fizz. Cette société est implantée dans le Gers comme l'avait initialement voulu Jean-Claude Sensemat, qui raconte :
« J'ai été très heureux de mettre le pied à l'étrier de Jean-Luc en lui accordant toutes les facilités financières. Durant toutes ces années, j'ai veillé à ce que l'esprit de la marque Lip demeure conforme à l'esprit des fondateurs et j’ai veillé au suivi et au renouvellement des marques et brevets dans le monde entier ainsi qu'à la lutte anti contrefaçon en Asie. »
Tout ceci a été rendu possible grâce à l'action d'un homme bien critiqué dès 1990, mais sans qui tout cela n'aurait pas vu le jour.
Sa reprise en 1990 a permis de sortir la marque de l'oubli, de dépoussiérer certains modèles, d'en créer bien d'autres, de faire vendre des millions de Lip à travers le monde et d'assoir à nouveau l'impact de cette marque sur le public.
Alors, rendons à Jean-Claude Sensemat ce qui lui appartient commente Christophe Courtois,  collectionneur parisien de montres cultes : « Grand coup de chapeau à Jean-Claude Sensemat qui a sauvé ma marque préférée que je collectionne depuis près de 20 ans. »  Cette renaissance de la marque Lip et les vingt-cinq années de travail qui ont conduit à un nouveau volet pour cette marque horlogère culte.


Gérard Meftah
Entreprendre N0 : 297 - mars 2016


Visitez Sensemat.com, suivez sur Facebook & Twitter
 

jeudi 7 janvier 2016

La vente de lip par Jean-Claude Sensemat



Acquise en 1990, Jean-Claude Sensemat a relancé la marque Lip en 25 ans,
puis il l'a vendue à l'exploitant de la licence de la marque en janvier 2016.
Lisez la lettre d'information directement : http://www.jcsensemat.com/images/pdf/lettre-2016.pdf
VISITEZ : http://histoire-lip.com/